Dans la soirée...

Invité

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Table des Poufsouffle]

Naestra s'engagea dans l'immense couloir. Elle venait de quitter sa nouvelle amie, Alvinia pour se dirigeait vers le parc de Poudlard. Marchant de son joli pas lent et léger, elle traversa les rangs d’élèves devant elle. Des Serpentard, des Gryffondor, se jaugeant de regards moqueurs, accompagné parfois de rire mesquins, et aussi d’autres élèves, certains plongeait dans leurs bouquins, d’autres parlant et se promenant en petit groupe. Il y avait de tout ici, toutes les personnalités se côtoyait ; et pas toujours dans la meilleure des ententes. Mais pas d’incidents a déplorait pour l’instant. Pareil du coté de Naestra, Allariel se tenait a carreaux, et quand bien même aurait-elle essayé de faire un tour a l’air libre, la jeune sorcière avait appris a la maitrisé tant bien que mal. Même si ce n’était pas parfait, ce système utilisé la force mentale, refoulant sa schizophrénie en créant une sorte de barrière mentale. Entre autres avantages, cela permettait de renforcé la puissance de l’esprit, et par conséquent, il était possible de développé les dons télépathiques… Naestra avait tout appris avec sa « mère de substitution » la directrice de l’orphelinat magique. Elle lui était redevable, car aujourd’hui elle ne craignait plus le mal qu’elle était capable de faire sous l’influence de ce coté sombre de sa personnalité. Et c’est pour cela qu’elle avait accepté de rentrée à Poudlard.

Sortant de ses pensées, Naestra marchait toujours en direction de l’entrée. Quelques élèves se parlaient dans la cour et devant la porte. La jeune sorcière passa l’immense porte de bois comme elle l’avait fait un peu plus tôt pour sa première entrée dans l’école de sorcellerie. Mais cette fois, ce fut pour sortir que Naestra emprunta l’immense allée pavée d’anciennes pierres grises. La jeune fille se dirigea vers le parc, a l’orée de la forêt interdite. Son père lui en avait vaguement parlé. Elle savait qu’elle était peuplé de créatures dangereuses et aussi qu’il était, comme son nom l’indique, formellement interdit d’y entré, sous peine de divers sanctions…

Naestra vit ensuite le lac. L’immense lac d’une profondeur inouïe. Il devait y habité toute sorte de créatures étranges… La jeune fille s’éloigna le plus possible de la gigantesque étendue d’eau. Son corps tremblait un peu, plus elle s’en éloigné, mieux elle se sentait, et bientôt son corps reprit une stature normale. En réalité, Naestra était hydrophobe. Ce n’était vraiment pas pratique sachant que ce lac ne bougerait pas pour son simple plaisir ! Mais elle n’y pouvait rien, elle craignait l’eau par-dessus tout, enfin presque tout ! Toujours est-il qu’il n’y avait aucun moyen pour elle de s’approché de ce fichu lac !

Elle marcha vers les arbres un peu plus loin. Levant la tête vers le ciel. Elle observa la lune qui était à son quart, lune croissante apparemment. Naestra s’arrêta et s’asseya dans l’herbe. La lueur argentée des rayons de lune faisait reluire le lac comme un miroir. Mais pour l’instant, assez éloignée de celui-ci cela ne la déranger pas. Naestra laissait la lumière bienfaisante de la maitresse de nuit effleurait son visage calme et serein. Elle resta silencieuse. Ecoutant le bruit du vent doux qui se frottait aux arbres proches. Elle était venue ici, pour se reposé un peu, elle avait toujours était proche de la nature, des arbres et des animaux. C’était son coté sage, qu’elle tenait de sa mère. Elle savait être très douce et patiente, son caractère s’accordait bien avec les plantes…

En attendant la jeune Poufsouffle, resta la. Sous la lueur étrange et mystérieuse de miss lune. Attendant quoi d’ailleurs, eh bien, juste qu’elle soit fatiguer. Elle retournerait au dortoir, ragerait ses affaires et partirait se couché. Mais d’abord elle tenait a se « recueillir » comme elle le faisait sur la tombe de ses parents, elle pensait juste a tout ce qui lui était nouveau, Poudlard, Alvinia et le reste, et a ce qui était déjà ancrée dans sa mémoire, la mort de ses parents...

Le silence c’était installé. On entendait au loin, sur l’onde des flots que le bruit du vent, des feuilles, et les murmures lointains des élèves.

[Viens qui veut... ^^]

Alvinia s'était levée de table peu de temps après le départ de Méliz. Elle ne l'avait même pas regardé, d'ailleurs. Mais elle avait senti le parfum de la jeune Angel et avait eu un haut-le-coeur. Encore un peu et elle vomissait dans son assiette. Elle avait alors décidé de prendre l'air pour calmer tout cela. Se promener la nuit, en voilà une idée. Chanceuse comme elle est, les portes seront fermée quand elle voudra rentrer et elle devra passer la nuit dehors, dans le parc et le froid. Elle repensa à la fois où elle avait voulu se "balader" dans la forêt... c'était comme ça qu'elle avait rencontré Edward... aaaaah le beau Edward. Il était tellement chou que s'en était presque inhumain. Quoi encore ? C'était pas de sa faute si elle bavait en général sur des petits. -__- De toute façon, elle-même n'était pas bien grande.

Elle était tellement plongée dans ses pensées qu'elle ne se rendit pas compte qu'elle fonçait droit dans quelqu'un. Elle percuta violement se "quelqu'un". Tellement qu'elle se retrouva projetée au sol, les fesses les premières.

Aïeeeeeuuuuu !

Invité

Naestra était assise dans l'herbe fraiche et humide de la nuit. Sous la lumière bienveintante du soleil d'argent dont les rayons luisaient aux reflets bleutés dans le lac qui effrayé la jeune fille du fait de son hydrophobie. Le vent chantait dans les arbres, apportant la rumeurs des sons étranges de la foret interdite derrière le parc. Sous cette lune croissante, les animaux et créatures habitantes cette endrois plutot sinistre laissaient traversé et voyagé leurs cris étranges et incéssants a travers l'air, porté par un vent nocture.

La jeune sorcière leva la tete et observa alors la miriade d'étoiles qui s'élevait devant ses yeux. A cet instant elle pensa en souriant que le ciel était "brillant d'une poussière inconnue", comment pouvait-on brillait avec de la poussière, mystère de la nuit et curiosité de l'ètre humain... Elle reconnue quelques constellation que sa mère lui avait montré et dont elle avait venté les mérites et leurs effets sur les sorts ou potion... Entre autres la constellation du dragon et de la vierge étaient particulièrement visible a cet instant.

Le calme s'était posé sur ce paysage de nuit, comme un voile étrange sur un tableau peint a l'encre noire. Et quel beau tableau! Il n'y avait pas a dire cette endroit était magnifique.
Mais le "voile apaisant" se brisa lorsque Naestra entendit des bruits derrière elle... Des bruits de pas, effacé par l'herbe. La jeune fille, par simple réflexe plongea sa main dans une des poches de sa robe et attrapa sa baguette, qu'elle ne sortit pas pour autant. Elle se souvenait du jour ou sa m_ère lui en avait fait cadeau. En réalité elle la lui appartéené, et l'avait fait passé a sa fille. La baguette marcha parfaitement. Elle lui expliqua qu'elle avait été taillé directement dans le tronc d'un vieux chène. Le bois fut ensuite ornementé de divers dessins étranges, ecriture runique celte et autre, trés utiles pour augmenté la puissance de la baguette. Il y avait ensuite inséré un fragment du coeur d'un ancien dragon, une race presque éteinte aujourd'hui, aussi forte que puissante et du crin de licorne; animal pur et beau autant que craintif et sauvage, farouche...

Toujours est-il qu'elle aggrippa le manche de sa baguette, attendant de savoir si c'était un enemie ou un ami qui s'approché. Le bruit approchait encore. Puis s'en qu'elle s'y attende quelques chose heurta ses cotes violement. Elle lacha un "Ouh!" de douleur, masquait par le cri poussé par la personne qui venait de la bousculé et était tombé. Une voix féminoine, qui ne lui était pas inconnu. Elle se leva et pointa sa baguette en direction de la nouvelle venue et cria:

"Lumos!"

Elle vit alors son amie qu'elle venait de quitté. Alvinia, allongée par terre au milieu de l'herbe. la jeune fille la regarda sans trop comprendre puis se précipita pour l'aidé. En l'aidant a se relevé elle lui dit:

"Je... Je suis désolée pardon! Je n'aurais pas du me planté au milieu du passage, pardon! Tu vas bien? Tu ne t'es pas fait mal au moins?"

La jeune fille regarda d'un air désolé son amie. Elle était si étourdie, et n'avait pas pensé que c'était dangeureux de resté dans le passage, la visiboilité n'était pas trés mauvaise, mais assise et si petite qu'elle fut il était sur qu'on ne pouvait que ne pas la voir au départ...
Pour cela elle se sentait honteuse. Les joues un peu rougissante elle s'excusa de nouveau.